BIENNALE DUTA 2007

Publié le 24 Mars 2007 par °~Ernest Dükü~°

Catégories : #EXPOSITIONS

"ANKHAMULLETTISSIMO"

« Mon projet « ANKHAMULETTISSIMO » se décline autour de trois tableaux :

- Ô my God @ inet code A

- Ô My God @ inet code J.C

- Ô my God @ inet code M.

L’ensemble qui s’articule autour des questions de la spiritualité, est accompagné d’une installation « SILENCE BORI BANA ANKHAMULETTISSIMO » pour tenter de décrypter la question de nos oublis :

- Nos oublis Voodoo

- Nos oublis Amullette

- Nos oublis AMA

- Nos oublis Awale

Le symbole de l’awale comme un code d’accès au partage.

L’objet du travail est d’effectuer la tentative d’une relecture de l’émergence des signes faisant l’objet de nouveaux syncrétismes et générateur de nouveaux codes. »

La 2ème biennale des arts visuels DUTA s'est déroulée au Cameroun du 8 mars au 18 mars 2007

Plusieurs artistes venus d'Afrique et des Caraibes et d'Europe ont montré leur travail.

Lors d'une panne de courant (délestage ) l'installation donna à voir un effet de lumière très impressionant.

Extrait de la présentation sur le site de Duta :

"Duta 2007 Présentation

DUTA est la première biennale des arts visuels en Afrique centrale.

Organisée par l'association Zoom basée à Douala (Cameroun), DUTA œuvre à la promotion de la création africaine contemporaine en donnant l'occasion à des artistes d'Afrique de porter leur talent à la connaissance du public. Pendant 10 jours, photos, peintures, sculptures, installations, vidéos d'art investissent différents lieux de Douala, ouverts à tous. DUTA marque sa singularité en proposant plus d’espaces d’expression aux artistes du continent, tout en favorisant l’échange, notamment avec les plasticiens de la diaspora (Caraïbe, Europe).

DUTA est d'abord issue de la volonté des artistes de partager et de parler l’Afrique autrement.

L’Afrique est à la fois une et plurielle. Les Africains, les Guyanais et les Antillais, se sont perdus de vue depuis des siècles. Ils ont fini par ne plus se reconnaître l’un dans l’autre, s’oublier et pour certains, se haïr. Pourtant, n'ont-ils pas des choses en commun à partager et nous faire partager ? DUTA propose ainsi de matérialiser l’identité africaine, d'Afrique et d'ailleurs, au travers du partage de la pratique culturelle la plus fédératrice : les arts visuels.